Les réseaux de piégeurs s'activent sur Freelons ! Déjà plus de 15 secteurs composés chacun de 1 à 26 communes...
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Piégeage de printemps. Intérêts et dangers
Cette étude du Museum national d'histoire naturelle a été publiée avant l'étude de l'ITSAP.
Elle révèle que le piégeage de printemps peut être une vrai catastrophe, tant pour son action de favorisation du développement du frelon asiatique que pour les dangers qu'il apporte à la biodiversité.
Cette étude est toujours d'actualité et tant à être prouvée par toutes les tentatives de piégeage de printemps à travers la France.
Cependant, l'étude de l'ITSAP qui est apparue après la contredit dans le cas d'un piégeage "Parfait".
Etude MNHN Intérêts et dangers
L'avis du MNHN
Dans son dernier avis datant de 2023, le MNHN met une nouvelle fois en garde contre le piégeage massif désorganisé. Freelons se base en partie sur cette analysé pour promouvoir un piégeage parfaitement encadré, sélectif et suivi d'une façon irréprochable.
"Comme à chaque printemps, de nombreux appels au piégeage des fondatrices du frelon asiatique sont fortement diffusés par voie de presse et autres réseaux. Ceci est d’autant plus fort cette année avec la parution du Plan National de Lutte des organisations sanitaires apicoles et avec l’élaboration de ses déclinaisons régionales. Nous rappelons ici que ce piégeage est déconseillé en dehors d’un cadre scientifique et devrait être limité aux ruchers fortement attaqués en 2022.
Ce plan suit et approfondit les recommandations de la note de service du Ministère de l’agriculture de 2013, ainsi que nos recommandations de lutte par piégeage estival et automnal, et celles concernant la destruction des nids. Hélas, pour le piégeage de printemps, il se base sur les résultats préliminaires d’une étude pilotée par l’ITSAP et le MNHN. Ces résultats étaient à prendre avec grande prudence, puisque les analyses statistiques n’étaient pas terminées. Surtout, ces travaux ne sont pas encore publiés, et n’ont donc pas encore passé la validation scientifique par les pairs. Comme le précisait l’ITSAP en 2021, aucun piège n’a encore été démontré suffisamment sélectif, il est donc conseillé de limiter ce piégeage à la proximité des ruchers qui ont subi des pertes l’année précédente."